Activités passées

La Fédération de la Gironde de la Libre Pensée organise

le Banquet républicain de la Tête de Veau

le samedi 19 janvier 2013

au restaurant Lorelei

Le Fassier

33710 PUGNAC

 

11h30 Apéritif et introduction au débat de Marie Guermont

"Pourquoi ce  banquet en commémoration du 21 janvier 1793 : La décollation de Louis XVI ? "

12h00 Banquet !

 

 

La Fédération de la Libre Pensée de la Gironde,

la Ligue des Droits de l'Homme (LDH 33),

l'Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC 33),

la Ligue de l’Enseignement (33)  organisent


Le 10 novembre 2012 à Bordeaux,

Place Jean Jaurès, à 14 heures30,

un rassemblement pacifiste, une cérémonie pour la paix.

 

A cette occasion le point sera fait sur la campagne en cours pour obtenir une loi de réhabilitation collective des fusillés pour l’exemple, les initiatives prises en direction du Conseil Général, des parlementaires girondins, et du Président de la République. C'est à ceux qui décident au niveau du pouvoir de l’Etat d’agir et de décider de cet acte politique national de réhabilitation, sans plus attendre.

C’est une œuvre de justice pour les victimes, leurs familles et leurs descendants. Nous voulons honorer, établir et faire reconnaître que ces hommes avaient le droit d’avoir peur, voire de se révolter contre la barbarie de la guerre et refuser de se faire massacrer.

Le rassemblement sera suivi d'une Conférence

 

sur cette question, qui abordera également la question du détournement du 11 novembre par la loi Laffineur de février 2012.

 

Elle aura lieu à 16h salle municipale du Grand Parc

Place de l'Europe à Bordeaux.

 

Les citoyens épris de paix, de justice donc soucieux d’une réhabilitation collective, pleine et entière des soldats tombés sous les balles d’autres soldats, sont tous invités, ainsi que les élus de la Gironde.

 

Pour la Fédération de la Libre Pensée : Christian Baqué

Pour la Ligue des Droits de l'Homme : Patrick Lecoq

Pour l'Association Républicaine des ancien Combattants : Alain Ardiley

Pour la Ligue de l'Enseignement : Patrick Hude

Assemblée de rentrée de la Libre Pensée

Samedi 22 septembre

de 14 heures à 17 heures

Salle municipale, Place de la Victoire

(c'est un préfabriqué, près de la mairie)

AMBARES

 

Nous y aborderons :

- le compte-rendu du Congrès de la Fédération nationale (20 au 23 août, à Sainte Tulle) et les résolutions adoptées,

- la mise en œuvre de ces décisions et les activités de la Fédération de la Gironde (Défense de la loi de 1905 de séparation des Églises et de l’État, laïcité, fusillés pour l'exemple, obsèques civiles...)

Le débat sera ouvert sur ces questions avec tous les participants.

Puis nous lèverons ensemble le verre de l’amitié.

Cette réunion étant publique, adhérents et sympathisants sont invités. N'hésitez pas à faire connaître cette réunion à ceux que vous connaissez et susceptibles d’être intéressées.

 

Comptant sur votre présence à toutes et à tous, et en attendant le plaisir de vous rencontrer, bien fraternellement.


  Le Président de la Fédération de la Gironde de la Libre Pensée.

Christian Baqué

 

Courrier aux députés et sénateurs de la Gironde (lettre ouverte au Président de la République)

 

 Madame, Monsieur le député,

Madame, Monsieur le sénateur,

Mesdames, Messieurs le élus de la République,

 

Nous portons à votre connaissance la Lettre ouverte que le Congrès de la Fédération nationale de la Libre Pensée a décidé d’adresser au Président de la République.

« La Libre Pensée s’adresse à vous, en votre qualité de gardien des institutions de la République, pour inverser le cours de la politique antilaïque menée depuis des décennies. »

Elus de la République, nous ne doutons pas que vous serez attentif à ces questions dans les mois qui viennent et aux décisions nécessaires.

C’est, bien entendu, l’une des questions que nous aborderons lors de notre Assemblée de rentrée, le samedi 22 septembre à Ambarès. Nous ne manquerons pas de vous informer de nos initiatives sur ces questions fondamentales tenant à la Séparation des Eglises et de l’Etat.

Vous remerciant de l’attention que vous porterez à notre courrier, recevez, Mesdames, Messieurs, nos salutations respectueuses, et l’assurance de nos convictions laïques et républicaines.

Pour la Commission Administrative fédérale

Le Président de la Fédération de la Gironde de la Libre Pensée

Christian Baqué

06 75 01 17 81

 

 

Monsieur le Président de la République,

          Vous êtes garant de la laïcité de l’État et de l’École. Il vous appartient donc de restaurer dans sa plénitude la Loi du 9 décembre 1905 en abrogeant toutes les dispositions législatives et réglementaires antilaïques, et de rétablir le principe républicain, résumé dans la formule « fonds publics à l’École publique, fonds privés à l’école privée ». Ce principe est battu en brèche par la loi du 31 décembre 1959 sur l’enseignement privé.

La Libre Pensée s’adresse à vous, en votre qualité de gardien des institutions de la République, pour inverser le cours de la politique antilaïque menée depuis des décennies.

          La Loi du 9 décembre 1905, adoptée au terme d’un débat parlementaire d’une tenue et d’une richesse exceptionnelles, couronne un ensemble indissociable et inestimable de libertés acquises au cours du processus d’émancipation politique inauguré par la Révolution française et poursuivi par la Troisième République : instauration de « l’instruction publique », obligation scolaire, monopole de la collation des grades, création de l’école publique laïque, liberté de réunion, liberté d’opinion et de presse, liberté de constituer des syndicats indépendants, libertés municipales, droit au divorce, laïcisation des funérailles, liberté d’association, enfin liberté de conscience.

Hugo s’écriant en janvier 1850 « L’État chez lui, l’Église chez elle » est enfin entendu.

          Le texte de 1905 a subi bien des outrages, directement ou indirectement. D’abord, l’œuvre législative de Briand, Buisson et Jaurès n’a pas été étendue aux départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle lorsque ces territoires sont redevenus français, en 1918 puis en 1945. La liberté de conscience n’est pas garantie aux citoyens de ces départements puisque des cultes y sont reconnus par l’État. Celui-ci supporte à ce titre une charge de 58 millions d’euros. L’unité et l’indivisibilité de la République s’en trouvent atteintes.

De plus, le régime de Vichy a dénaturé certaines dispositions de la loi en rendant à nouveau possibles les dons et legs, testamentaires ou entre vifs, en faveur des congrégations, ainsi que l’attribution d’aides publiques destinées au financement des réparations des édifices cultuels privés construits après le 1er janvier 1906. Enfin, des dispositions plus récentes, initialement prévues pour aider les collectivités territoriales à conduire avec l’aide de tiers des missions de service public ou d’intérêt général, ont été détournées de leur objet d’origine et servent de support à la violation de l’article 2 de la Loi du 9 décembre 1905. Ainsi, les baux emphytéotiques administratifs sont abondamment employés par les communes pour consentir la jouissance du terrain d’assiette de nouveaux édifices cultuels, moyennant des loyers dérisoires ou symboliques valant octroi de subventions indirectes aux cultes.

Au terme de plusieurs instances, les libres penseurs ont obtenu l’annulation par le juge administratif des délibérations autorisant les maires à consentir de tels baux aux associations cultuelles. Pour enrayer cette jurisprudence, l’ordonnance Villepin a étendu le bénéfice des baux emphytéotiques à des associations cultuelles. Néanmoins, le problème du montant du loyer demeure : l’article 2 de la Loi de 1905 interdit de subventionner les cultes.

          Vous avez annoncé votre intention d’inclure dans la Constitution du 4 octobre 1958 les dispositions des articles 1 et 2 de la Loi du 9 décembre 1905, tout en précisant que le Concordat de 1801 serait également constitutionnellement sanctuarisé dans les trois départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle.

La Libre Pensée est opposée à ce projet.

Conformément à la décision n° 77-87 DC du Conseil constitutionnel du 23 novembre 1977, la liberté absolue de conscience énoncée à l’article 1er de la Loi du 9 décembre 1905, telle qu’elle est proclamée par l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, est l’un des principes fondamentaux reconnus par les lois de la République et fait donc déjà partie du bloc de constitutionnalité. Enfin, l’inscription dans la Constitution de l’interdiction de reconnaître et de subventionner les cultes n’effacera pas, sauf question prioritaire de constitutionnalité victorieuse, les dispositions législatives ou réglementaires contraires à la Loi de Séparation ni ne dissuadera les auteurs de ces violations actuelles multiples.

Seules des mesures concrètes permettront de restaurer la Loi du 9 décembre 1905 :

-                      abrogation du Concordat de 1801 et des décrets Mandel de 1939, extension de la Loi de Séparation à tous les départements et territoires de la République ;

-                      déclaration obligatoire et taxation des dons manuels aux cultes ;

-                      abrogation de l’article 795 du Code général des impôts qui exonère les associations cultuelles et diocésaines ainsi que les congrégations des droits d’enregistrement sur les libéralités testamentaires ou entre vifs ;

-                      suppression de l’abattement fiscal de 66 % sur les aides consenties aux cultes au titre du mécénat ;

-                      abrogation de la circulaire La Martinière de 1966 exonérant les productions artisanales des congrégations d’impôt sur les sociétés ;

-                      abrogation du dernier alinéa de l’article 19 de la Loi du 9 décembre 1905 permettant le financement public illimité des réparations réalisées sur des édifices cultuels privés construits après le 1er janvier 1906 ;

-                      introduction d’une disposition nouvelle dans l’article L. 1311-2 du Code général des collectivités locales obligeant à conclure au prix fixé par France Domaine les baux emphytéotiques administratifs consentis aux associations cultuelles ;

-                      interdiction de la présence ès qualités de représentants de l’État ou d’élus de la République dans des cérémonies religieuses, en particulier lors des manifestations officielles de la République française placées sous les auspices des autorités religieuses, telles que la célébration en la cathédrale de Reims du cinquantième anniversaire de la réconciliation franco-allemande, en juillet dernier ;

-                      instructions données aux armées, et notamment aux escadrons de gendarmerie, pour faire respecter la loi et donc interdire leur participation aux cérémonies religieuses chaque année, les jours de célébration de certains saints ou saintes (par exemple la sainte Geneviève) ;

 

Monsieur le Président,

          De même que le Concordat est une épine douloureuse plantée dans la chair de la République, la loi du 31 décembre 1959, aujourd’hui codifiée aux articles L. 442-1 et suivants du Code de l’éducation, constitue une tumeur maligne dans le corps de la laïcité de l’École, l’œuvre de Paul Bert, de Jules Ferry, de Ferdinand Buisson et de René Goblet. Si la liberté d’ouvrir des établissements privés d’enseignement doit être garantie, néanmoins la Nation a pour unique devoir d’assurer les conditions de la formation de citoyens libres et éclairés dans la République.

À cette fin, il faut donc rétablir les responsabilités de l’État en matière scolaire sur la base des principes constitutifs de la République : garantir à tous les niveaux « l’instruction publique », et donc rétablir dans sa plénitude le monopole de la définition des programmes et des diplômes ; en conséquence, tous les financements publics doivent être réservés aux établissements publics d’enseignement, les seuls qui garantissent aux jeunes consciences d’apprendre à l’abri de tous les dogmes et qui se fixent l’objectif de leur transmettre les connaissances les mieux établies selon la méthode du libre examen.

Le bonheur de la jeunesse, dont vous soulignez à juste titre l’importance pour l’avenir du pays, en dépend.

          La situation qui prévaut depuis 1960 a permis à l’Église romaine, la grande bénéficiaire de la loi du 31 décembre 1959, de gérer plus de 8 000 établissements d’enseignement des premier et second degrés qui accueillent 17 % des élèves. Exemptés des contraintes de la carte scolaire, ces établissements conservent un caractère propre grâce auquel ils perpétuent, sous des formes d’ailleurs souvent très subtiles, une morale découlant des dogmes. Il en coûte huit milliards d’euros à l’État et environ un milliard et demi aux collectivités territoriales. À cet égard, au grand dam de nombreux élus locaux de toutes tendances et de toutes convictions religieuses, la loi du 28 octobre 2009 tendant à garantir la parité de financement entre les écoles élémentaires publiques et privées sous contrat d'association lorsqu'elles accueillent des élèves scolarisés hors de leur commune de résidence a aggravé la situation.

          La loi du 31 décembre 1959 dite « loi Debré » constitue une brèche béante dans la laïcité de l’École et, par ricochet, de l’État dans son ensemble. C’est pourquoi la Fédération nationale de la Libre Pensée s’adresse à vous pour qu’elle soit abrogée ainsi que tous les textes qui l’ont modifiée depuis l’origine jusqu’à la loi du 28 octobre 2009.

          Soyez assuré, Monsieur le Président de la République, de nos sentiments laïques et républicains.

La Congrès Départemental de la Fédération de la Gironde, en préparation du Congrès Nationnal se déroulera le samedi 30 juin 2012 de 10h30 à 12h00 à la Maison des Associations à Mérignac. (Réservé aux adhérents).

INVITATION

 

A l’occasion de son Congrès Départemental,

La fédération de la Gironde de la LIBRE PENSEE, organise une conférence-débat publique le

SAMEDI 30 JUIN

A la Maison des Associations à Mérignac

(Av. du Gal de Lattre de Tassigny, près du stade R. Brettes, Pin galant, et de la Mairie)

de 14H à 16H/16H30

Christian Eyshen, secrétaire général de la Fédération Nationale de Libre Pensée présentera le thème :

« La Laïcité Institutionnelle de l’Etat, sa situation aujourd’hui, les propositions et actions

de la Libre Pensée »

 

Pour l’abrogation de la loi Debré

 

Fond publics à l’école publique,

Fonds privés à l’enseignement privé

 

Serment de Vincennes du 19 Juin 1960 :

« Nous, délégués des pétitionnaires des communes de France, représentant 10 813 697 Françaises et Français de toutes origines et de toutes opinions, ayant signé la protestation solennelle contre la loi scolaire de division du 31 décembre 1959, faisons le serment solennel :

- de manifester en toutes circonstances et en tous lieux notre irréductible opposition à cette loi contraire à l'évolution historique de la Nation ;

- de lutter sans trêve et sans défaillance jusqu'à son abrogation ; et d'obtenir que l'effort scolaire de la République soit uniquement réservé à l'école de la Nation, espoir de notre jeunesse. »

Samedi 12 mai 2012

de 10h00 à 16h30

 

L’INSTRUCTION PUBLIQUE EN ESPAGNE

 

Colloque  

organisé par l'Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France-FFI dans la résistance française (AAGEF-FFI, section de la Gironde) et la Fédération Girondine de la Libre Pensée, en partenariat avec l’Association du Mémorial pour les Républicains Espagnols de la Base sous-marine et le Réseau Aquitain de l’Histoire et de la Mémoire de l’Immigration (RAHMI).

 

Au cinéma et à la médiathèque de Mérignac


Le matin au Cinéma de Mérignac, 10h:

 

- LA LENGUA DE LAS MARIPOSAS (La langue des papillons) de José Maria Cuerda, (version espagnole sous titrée), Esp 1999, 95 mn, adapté de trois nouvelles de Manuel Rivas, musique originale de Alejandro Amenabar.

 

- Dans un village de Galice, Moncho, 8 ans, se rend pour la première fois à l'école. Don Gregorio, le maître, dispense un enseignement original, bucolique, laïque, rationaliste et républicain, qui le met en confiance. Mais, le 18 juillet 1936, tout se brise en raison du coup d'état franquiste.

 

- C'est dans une Espagne en friche que la seconde République proclamée en 1931va bâtir son plus incontestable succès: la culture et l'éducation. Comme la troisième république française eut ses « hussards noirs », la République espagnole eut ses «maestros ». L'instituteur incarna la face la plus lumineuse des nouvelles institutions et il en paiera le prix fort au moment de la «limpieza» (nettoyage, épuration) franquiste.

 

-Projection suivie d'un exposé: « Les enseignants rationalistes, laïques, de la fin du 19ème siècle à 1931 » par Joachim Salamero, membre de la Commission Administrative Nationale de la Libre Pensée.

 

- 12h15 : pause repas (Liste des lieux de restauration fournie aux participants).

 

L’après midi à la médiathèque

 

- 13h30 : « 1931-1939, l'espoir de la deuxième république espagnole par l'éducation et la culture », par Laure Lataste, présidente de l'AAGEF-FFI section de la Gironde.

 

- 14h15 : « Après les trente-six ans de la nuit franquiste et les trente sept ans de la démocratie, quelle réalité pour l'instruction publique en Espagne aujourd’hui? » par Gabriel García Voltà, docteur en histoire, Barcelone, (s’exprimera en français).

 

- 15h15 – 16h30 : débat public, questions réponses avec les participants.

 

 

 

SOIREE DE LA LIBRE PENSEE

VENDREDI 6 AVRIL 2012

SALLE DES FETES DE CAPEYRON

PLACE JEAN JAURES MERIGNAC

19h Conférence de Marie Guermont

« COMMUNARDES »

Le rôle des femmes pendant la commune de Paris de 1871

20h00 Repas

 

 

Invitation

 

-          POUR LA LIBERTE DE CONSCIENCE

-          CONTRE LES INTERDITS RELIGIEUX

-          POUR LA SEPARATION DES EGLISES ET DE L’ETAT PAR LE STRICT RESPECT DE LA LOI DE 1905

-          POUR L’ABROGATION DU CONCORDAT D’ALSACE MOSELLE ET DE LA LOI DEBRE DE 1959

-          FONDS PUBLICS A L’ECOLE PUBLIQE, FONDS PRIVES A L’ECOLE PRIVEE




 

 

 

  MENU

 

  • o   Apéritif : communard
  • o   Charcuteries, crudités variées.
  • o   Cuisse canard et son accompagnement de légumes,
  • o   Fromage,
  • o   Dessert,
  • o   Café,
  • o   Vin évidement ! Mais aussi eau et jus de fruit !

 

 

Accès à la salle municipale de Capeyron, Place Jean Jaurès à Mérignac

 

Depuis les boulevards : à la barrière Judaïque prendre direction Mérignac centre ; en arrivant sur la place Charles de Gaulle prendre à droite : avenue de la libération direction Eysines jusqu’à la place Jean Jaurès où se situe la salle municipale.

 

Depuis la rocade sortie n° 10 : prendre direction Mérignac centre ; en arrivant sur la place Charles de Gaulle prendre à gauche : avenue de la libération direction Eysines jusqu’à la place Jean Jaurès où se situe la salle municipale.

 

Depuis la rocade sortie n° 9 : prendre l’avenue de Magudas ; direction Bordeaux jusqu’au rond-point pendre à droite jusqu’à la place Jean Jaurès où se situe la salle municipale.

 

Par le tramway : Ligne A Mérignac centre : à l’arrivée de la station poursuivre à pied par l’avenue de la Libération jusqu’à la place Jean Jaurès où se situe la salle municipale.

 

Inscription à retourner à

Marie Lescoute 3 rue Emile Littré 33700 MERIGNAC

Courriel : marielesc@numericable.fr Dernier délai lundi 2 avril 2012

Journée d’études

Pour connaître la Libre Pensée

Samedi 17 mars 2012

Salle du Mascaret

Saint André de Cubzac

 

Sous la présidence de Christian BAQUE, Président de la Fédération de la Gironde

10 heures. Accueil.

10h15 à 11 heures. Michel GODICHEAU. Les fondements de la Libre Pensée

11 h – 12 heures Débat Questions réponses

12h 13h30 Pause Buffet (14 €)

13h45 – 14h30 Joachim SALAMERO. La Fédération Girondine, son histoire, ses actions, ses travaux.

14h30 – 15h30 Débat.

16 h : Christian BAQUE Actualité du combat de la Libre Pensée

et conclusion de la journée